L’environnement est un ensemble de conditions naturelles (physiques, chimiques, biologiques) et culturelles (sociologiques) susceptibles d’agir sur les organismes vivants et les activités humaines. La préservation de l’environnement est un des piliers du développement durable.
Vous trouverez dans cette section de l’information concernant ces enjeux importants ainsi que les différents services offerts par la Municipalité.
L’herbe à la puce est une plante qui a la forme d’un buisson. Une forme grimpante existe également dans le sud-ouest du Québec. Elle mesure de 20 cm à 1 mètre de hauteur. Cette plante vivace se multiplie à partir de ses graines ou de son important réseau de tiges souterraines. Les feuilles de l’herbe à la puce sont lustrées. Chaque feuille est composée de 3 folioles (petites feuilles) pointues. La tige de la foliole centrale est beaucoup plus longue que celle des 2 autres folioles. Le bord des feuilles peut être lisse ou denté. Les feuilles sont rougeâtres lorsqu’elles apparaissent au printemps et deviennent vertes en été. À l’automne elles prennent différentes teintes de jaune, d’orange ou de rouge.
Le feuillage de l’herbe à poux ressemble à celui de la carotte, tandis que celui de l’herbe à la puce est peu ou pas du tout découpé. Toucher à l’herbe à la puce est dangereux alors que toucher à l’herbe à poux ne présente aucun risque.
L’herbe à poux est une mauvaise herbe très répandue au Québec. Elle est présente de mai à octobre et meurt aux premières gelées à l’automne. À la mi-juillet, l’herbe à poux commence à fleurir et produit du pollen. Le pollen voyage dans l’air sous la forme d’une fine poussière et provoque des réactions allergiques chez les personnes qui y sont sensibles. C’est le cas de plus d’un million de Québécois, de juillet à octobre.
L’herbe à poux est souvent confondue avec l’herbe à la puce. L’apparence de ces deux plantes est toutefois très différente et elles n’ont pas les mêmes conséquences sur la santé. Il est important de savoir les reconnaître.
La berce du Caucase, une plante toxique, comment la reconnaître et quoi faire pour l’éliminer ! Elle a été identifiée pour la première fois au Québec en 1990 et elle est déjà présente dans plusieurs de ses régions.
Informez-vous sur le règlement en vigueur pour connaître la période d’arrosage autorisée pour votre résidence !
L’utilisation de l’eau en provenance de l’aqueduc municipal aux fins d’arrosage de pelouses, jardins, fleurs, arbres, arbustes et autres végétaux est défendue durant la période du 1er¸ mai au 15 septembre de chaque année, à l’exception des périodes suivantes :
Entre 22 h et 00 h et entre 5 h et 7 h, les jours suivants :
En aucun temps, l’eau provenant de l’arrosage ne doit ruisseler dans la rue ou les propriétés avoisinantes.
REMPLISSAGE DE PISCINE
Le remplissage de piscines n’est permis tous les jours qu’entre 00 h et 6 h.
PERMIS POUR UNE NOUVELLE PELOUSE
Malgré l’article 1 du présent règlement, un contribuable qui installe une nouvelle pelouse peut, sur obtention d’un permis délivré par la municipalité, procéder à l’arrosage à tous les jours entre 22 h et 00 h et entre 5 h et 7 h pendant une durée de 15 jours consécutifs après le début des travaux d’ensemencement ou de pose de tourbe ; toutefois, l’arrosage permis par le présent article devra être limité à la superficie de terrain couverte par la nouvelle pelouse.
En cas de sécheresse, d’urgence, de bris majeurs de conduites d’aqueduc ou pour permettre le remplissage des réservoirs.
* Les détenteurs d’un permis d’arrosage pour une nouvelle pelouse pourront arroser, et ce, même dans le cas où une interdiction d’arrosage serait en vigueur.
Il est interdit :